En italie, ils font partie des tutti-bianchi, en France ce sont les invisibles. Et invisibles ils le sont aux yeux du premier cumulard de Nice.
Depuis une semaine le collectif des sans-papiers CGT tente en vain de rencontrer le député-maire pour lui parler de la situation de ces travailleurs de l’ombre, qui se lèvent tôt et qui travaillent dur.
Alors à l’occasion du dépôt de leurs dossiers en préfecture, ils ont décidé de venir voir Estrosi lors du conseil municipal pour se rappeler à son bon souvenir..
