Répondant à l’appel de la jeunesse face au FHaine au second tour de la présidentielle, le 1er mai fût pour les salariés, retraités, précaires, jeunes, moins jeunes, très jeunes, hommes, femmes, hétéros, homos, gens de culture ou ouvriers, l’occasion de battre le pavé avant de battre démocratiquement la peste brune.
Parmis eux, quelques personnes plus singulières encore : les déportés et enfants de déportés, qui avaient remis, non sans douleur on peut l’imaginer, leurs « habits » de déportés, pour témoigner mieux que quiconque de l’immondice qu’est l’idéologie d’extrême-droite.