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Exposition « Gênes au delà des clameurs »

15h - Bibliothèque du Campus de Savone / Savone-Italie

7 novembre 2008 - Photo

Dans le cadre de l’exposition « Gênes au-delà des clameurs » organisée par le campus de Savone (Italie)
Je vous invite à la rencontre/débat autour des photos que j’ai prises lors des événements du contre-sommet du G8 (Gênes, 19-21 juillet 2001)
à la Bibliothèque du Campus de Savone (Université de Gênes)
le vendredi 7 novembre 2008
à partir de 15 h.

- Photos de Gênes : http://marc.monticelli.fr/spip.php?...
- Annonce de l’expo sur le site « Turisma Savona » de Robert Milano qui organise l’exposition : http://www.robertamilano.it/turismo...
- A lire la critique de Peripherie.net : Spasme sur Gênes (10/09/2001)

A (re)découvrir, le livre (à télécharger gratuitement) « Gênes, au delà des clameurs » édité chez l’Amourier, avec les textes de Daniel Biga (Nantes), Alain Freixe (Nice), Laura Parian i(Orta San Giulio), Katy Rémy (Nice) : http://marc.monticelli.fr/IMG/pdf/A...

Revue de web :

- Il Secolo XIX
- Exibart
- Primocanale
- mentelocale
- Indymedia Liguria
- Genova Dal Satellite

Emballé c’est pesé !

3 novembre 2008 - Photo

C’est fait. Nous avons terminé avec Raph’ d’encadrer et de protéger pour le voyage les photos de l’exposition à Savone.

[10/09/01] Aiguillage : Spasme sur Gênes

Il le dit dans une de ses légendes : « Nous ne sommes ni cette masse informe de la vision des grands de ce monde, ni des guerriers isolés se détachant d’un fond brumeux créé par les lacrymos le poing en l’air ou agitant un drapeau comme les aiment les journaux pour leur une. » C’est pour cela que Marc Monticelli, communiste niçois, militant pour une autre mondialisation, a capté des instants en noir et blanc, comme des centaines d’autres manifestants, pendant quatre jours lors de la contestation du sommet du G8 en juillet dernier. Parmi la cinquantaine de photographies qu’il publie sur le très recommandable Spasme, il y a tout l’air de la ville pendant les journées chaudes, sa sale gueule de cité volée à la société civile, à la société tout court, les visages radieux des êtres ensemble, ce bonheur et cette énigme, le sang et la joie. Vous croyez tout avoir vu de Gênes. C’est faux.

Thomas Lemahieu


1- Gênes 2001. Journées d’opposition. De manifestations. La ville est en état de siège. Tout est prêt pour la paye. La bonne. Celle du sang.
Ce sera un certain vendredi 20 juillet. Ce sera celui d’un jeune homme, Carlo Giulani, “ sacrifié à la violence sommaire des nouveaux maîtres du pouvoir ”, écrivait Erri de Luca dans le journal Libération du 24 mars 2002.

2- Un autre jeune homme est là. Il vient de Nice. Il fait des prises de vue. Pas des prises de sang. Ce qui l’intéresse : pas la violence – elle est là, omniprésente – mais les individus, leurs visages – cela qui perdure d’humanité dans ce que l’on dit foule anonyme – ou cette absence terrifiante de regard.

3-Les images de Marc Monticelli. Ce sont elles qui ont fait que c’est revenu. Que ça s’est relevé. Que ça a poussé plus loin sur la ligne du temps. Devenu autre. Au-delà des clameurs ouvrant comme une autre scène où murmurer c’est donner à entrevoir des lueurs. De celles que l’on voit courir le long des lisières entre l’aveuglante lumière du plein champ et l’obscurité des sous-bois. Où murmurer c’est couper court, imposer silence – à qui veut entendre – sans blesser.

Tags de la gare du sud

2 août 2008 - Photo

Le mandat de l’ancien maire de Nice J. Peyrat a été marqué par plusieurs sagas dont celle de la gare du sud. Laissée à l’abandon et aux squatters pendant des années, le maire avait voulu y construire une mairie à la hauteur de sa mégalomanie (d’où le terme de mégalomairie).
De recours en demandes de classement de la façade (au lieu de la structure métallique imaginée par Eiffel himself, bien plus interressante), la destruction de la gare a suscité la curiosité de tous les photographes amateurs (nous devons être des centaines à avoir les mêmes photos du batiment depuis l’extérieur vous pouvez d’alleurs voir les miennes par ici).
Peux par contre se sont aventurés à l’intérieur par peur de ce qu’on pouvait y trouver.
Heureusement pour nous, la mairie a transformé temporairement en 2006 la gare en parking sans nettoyer les murs. Nous pouvions enfin découvrir les création qui y avaient été produites.

Exposition d’art contemporain au coeur de la fac des Sciences

30 mai 2008 - Photo

L’université a toujours été un lieu d’échange et de création. Pourtant l’art contemporain n’a jamais réussi à trouver une place en fac des sciences.
Mais c’était sans compter sur un jeune artiste niçois original et secret qui a su s’approprier les lieux et mener un travail sur les batiments eux-mêmes.

Le pari était osé, mais le résultat est là.

Son oeuvre n’est pas sans rappeler celles d’autres artistes de l’école de Nice sur la matière, le dedans et le dehors, ...

Depuis près d’un an, les personnels et étudiants ont la chance de pouvoir contempler chaque jour cette oeuvre « monumentale ». Preuve qu’à l’Université de Nice, la pluridisciplinarité n’est pas qu’un mot.

Voici quelques clichets de cette exposition permanente et gratuite :

Nice place to dream about / 2007

au Bliss jusqu’en décembre

14 octobre 2007 - Photo

Il y a les institutions, les galeries, et puis il y a des lieux plus improbables où l’on peut découvrir des talents photogaphiques.

C’est le cas du tout nouveau bar le Bliss dans le vieux-Nice (12 rue de l’Abbaye) qui a été inauguré vendredi soir (voir les photos de la soirée), et qui propose à découvrir une série de Jérome Icardo : « Nice place to dream about / 2007 ».
Loin des concours du plus de pixels, Jérome utilise un simple Polaroid, puis en fait un tirage numérique en 50*60 cm.
A découvir absolument !!!

- website : http://thethirdeye.fr/

Tokyo : 10 secondes pour 35 ans

9 septembre 2007 - Photo

La plus grande photo du monde est argentique

9 août 2007 - Photo

Alors que le numérique a presque finie d’asphyxier l’argentique, voilà que cette dernière lance comme un ultime cri de résistance au travers du « Legacy Photo Project » : réaliser la plus grande photo du monde (et par là même, le plus grand appareil photo du monde) en utilisant une des plus anciennes techniques, des plus simples et élégantes : le sténopé.

La taille de la photo est de 33,8 m par 9,4 m.
Le temps de pose est à la hauteur : 10 jours.
Le développement s’est fait dans une sorte de piscine olympique.

Si vous avez la chance d’aller du coté de la californie en septembre, la photo est exposé du 6 au 29 septembre au « Art Center College of Design » à Passadena

« La photographie n’est pas une image de quelquechose, mais un objet à propos de quelquechose » - Robert Heinecken (1932-2006).

20/07 - Pompiers

D’un coté les policiers. De l’autre des manifestants. Au milieu les pompiers qui éteignent les feux, et le balais des ambulances.

21/07 - Sea, sex and Sun

Le traquenard était au point. Chasse à l’homme et tabassage au programme de la police et de la brigade financière. Un mort ne leur suffisait donc pas.
Seul soucis après ces quelques photos, se sortir d’une souricière. On mettra près de deux heures.

Début des affrontements en bord de mer. Samedi 21 juillet 2001

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