« Ponkicki’s » (ポンキッキーズ) est une émission de télévision japonaise pour enfants diffusée depuis 1993.
De 1995 à 1997, l’émission sort 6 CD-Rom éducatifs pour Windows-95 (ainsi qu’un ensemble de petits jeux sur Playstation en 2001, « kidsstation »).

« Ponkicki’s » (ポンキッキーズ) est une émission de télévision japonaise pour enfants diffusée depuis 1993.
De 1995 à 1997, l’émission sort 6 CD-Rom éducatifs pour Windows-95 (ainsi qu’un ensemble de petits jeux sur Playstation en 2001, « kidsstation »).
« Weekly Shōnen Sunday » (週刊少年サンデー) est est un magazine japonais hebdomadaire de prépublication de mangas shōnen publié depuis 1959.
Dans le 40ème numéro de l’année 1969, le magazine propose une vision d’une société idéale que permettraient les ordinateurs et les robots.
La salle de classe, elle, ne change pas sur le fond : les chamailleries entre élèves demeurent. Nous voilà rassurés :-D).
Petit plaisir (merci papa noël) avec cette 1ère édition de 1779 des oeuvres complètes de Blaise Pascal en 5 tomes dont 2 sont consacrés à ses travaux scientifiques comme la mythique Pascaline ou le triangle arithmétique pour les sujets qui m’intéressent plus directement.
Le prix était très accessible pour ma petite bourse, les couvertures étant absentes (ça peut monter très haut). Quelques taches par-ci, par-là, mais globalement les livres sont très sains. Le papier XVIII ème est de très bonne qualité.
Je dois refaire les couvertures. Sans doute que je vais partir sur une sorte de coffret/support qui s’ouvre.
On l’aura repoussée et repoussée cette expo, mais l’attente en valait la peine.
Grosse soirée samedi avec une 30aine d’ami.es (vaccinés ou testés ;) ) pour le vernissage de l’exposition co-organisée avec Kernel-Panic autour de Paper Beast à l’Octopus-Gallery en présence de la surprise annoncée : l’auteur du jeu, Éric Chahi himself 8 ans presque jour pour jour après l’expo rétrospective que nous lui avions consacrée à Nice avec l’Espace-Turing et Kernel-Panic.
C’est toujours un très grand plaisir de l’avoir parmi nous. Malgré son statut de quasi star dans le monde du jeu vidéo, il reste quelqu’un d’accessible, passionné (il teste tous les jeux dispos qu’il voit), d’un extrême gentillesse.
Pour cette occasion un peu exceptionnelle nous avons voulu (Éric, mes amis piliers de l’Octopus Fabien et Robert, et moi même) marquer le coup avec :
L’expo est évidemment consacrée au jeu Paper Beast, mais aussi -un peu- à l’histoire de la réalité virtuelle, depuis la stéréoscopie à la Virtual Boy, la 3DS en passant par le tout premier casque de VR pour le jeu-vidéo, le 3D Imager Vectrex.
Portraits NB : Romain Sartorio.
En novembre, vernissage de l’exposition « PAPER BEAST » à l’Octopus-Gallery, le jeu VR multiprimé d’Eric Chahi. Pour l’occasion il n’y aura pas une mais deux surprises !!
Et on pourra enfin inaugurer la pompe à bière (bière artisanale bien sûr) !!
Avec la participation de Kernel Panic.
Vernissage uniquement sur invitation et passe-sanitaire à jour en raison de la taille du lieu.
Possibilité de venir sur RDV à partir du 17 novembre. Contactez moi.
Fortran a été le premier langage de programmation de haut niveau. Destiné au calcul, il est toujours utilisé dans les milieux scientifiques malgré ses 64 ans. Il a intégré au cours des années de multiples évolutions : vectorisation, parallélisme, orienté objet, … .
Ce jeu de plateau sortie en 1973 pour apprendre la programmation, en reprend le nom (et des instructions) comme gage de sérieux et nous fait un promesse : « Input reason. Output : pleasure ». Tout un programme :D.
Il a été développé par le département de physique de l’université de Bar-Ilan.
Pour faire simple, le jeu consiste à exécuter un programme constitué par les lignes de commandes sur lesquelles les lancés de dés vous ont envoyé. Le gagnant est celui qui arrive à la fin du programme avec le total des calculs successifs le plus élevé.
Je suis un fan de fanzines (mais pas collectionneur). J’en ai fait quelques-uns, à plusieurs ou en solo. Ma première tentative était avec quelques copains au collège en 1983 poussés par notre prof de maths ; j’avais 13 ans. Il s’agissait d’un fanzine sur la programmation. Notre objectif était de former tous les élèves du collège au langage BASIC et de les attirer au club informatique. Abandon dès le 1er numéro, le succès n’ayant pas été au rdv. Qui l’eu cru :-D :-D.
Beaucoup plus tard, en voyage au japon, j’ai découvert les dōjinshi (fanzine japonais) lors d’un Comiket/Otaku Expo. Et je dois dire que j’ai été très déçus. Trop proprés, trop identiques, manque d’originalité dans les sujets. Sans doute que par définition le fanzine underground ou décalé cher à mon coeur reste underground aussi au japon et n’est pas accessible au 1er gaijin venu.
Et j’en viens au sujet de ce post : il y deux semaines, j’ai découvert un dōjinshi qui traitent de l’utilisation des calculatrices anciennes (et d’appareils photos). Ni le dessin, ni les schémas techniques n’ont a rougir de certaines publications japonaises pro utilisant le manga pour un propos technique. Ok, on est loin du fanzine punk et sulfureux, mais quand même : sortir des mangas en auto-édition sur le fonctionnement de calculatrices anciennes, sur du papier épais, couverture 300/400g, chapeau bas amis japonais.
CIA - Counterterrorism detention and interrogation activities (September 2001 - October 2003) - 7 May 2004.
J’ai visité Hiroshima en mars 2015, c’était l’année du 70ème anniversaire du « bombardement atomique » de la ville. Cette visite fût un moment très spécial et émouvant car le desarmement nucléaire a été un des deux premiers marqueurs de mon engagement en politique. J’en ai ramené quelques photos, maladroites, et un son, celui du ruissellement de l’eau dans le Hall du Mémorial pour les victimes de la bombe atomique comme les murmures des 250.000 vies disparues à Hiroshima et Nagasaki.
Parmis les 1ères références à l’ordinateur dans la BD, il y a cette histoire d’Oncle Picsou dans un Hors-Série du Journal de Mickey datant de 1966.
Oncle Picsou découvre cette « curieuse mécanique », calculateur inventé par Geo Trouvetou, et décide de l’utiliser pour calculer les profits de ses nombreuses activités dans le monde. Dans un vacarme épouvantable, la machine qui semble s’auto-piloter dégurgite des mètres et des mètres de résultats sur ruban papier. Un véritable chaos sonore et physique illustrant une puissance mal maitrisée et qui pourrait lui échapper. La suite de l’histoire revient au préoccupations constantes d’Oncle Picsou : en découvrant une baisse de ses profit, il part à travers le monde pour savoir qui l’a volé.
La personnification du « Super Ordinateur Atlas » à travers ces 3 planches n’est pas sans rappeler la couverture du Time sortie un an plus tôt en avril 1965 qui illustre le gigantisme des 1ers ordinateurs et le mythe du cerveau électronique qui a court à l’époque (en fait les 4 première couvertures du Time consacrés à l’informatique - 1950, 1955, 1960, 1965 - reprennent toutes la personnification de l’ordinateur et le concept de cerveau électronique).
Cette personnification de l’ordinateur est aussi en partie liée à la popularité des robots et humanoïdes dans la culture populaire de l’époque à travers le cinéma (Metropolis - 1927 ; Planète interdite - 1956 ; …), la littérature SF (« Les robots » d’Asimov - 1950 ; …) , et dans la BD européenne (« Le robot géant - 1939 » dans Spirou ; …) comme dans les comics et mangas.
Toutefois le robot humanoïde reste à cette époque encore de l’ordre de l’imaginaire et du fantasme, alors que l’ordinateur lui est bien réel.
« Atlas », le nom de l’ordinateur dans l’aventure de Picsou, est probablement une référence à un des deux ordinateurs dénommés Atlas des années 1950-1960.
Le premier est anglais. Lancé en 1962, il est l’ordinateur le plus puissant du monde à de moment là.
Le second est américain. Il a été conçu entre 1947 et 1950 par une équipe de casseurs de codes formée durant la seconde guerre mondiale.
Et là où ça devient intéressant, c’est que ce nom est lui même une référence à un personnage du comics « Barnaby » de Crockett Johnson. Le personnage d’Atlas est un « géant mental » qui apparait dans Barnaby le 26 mai 1943 avec une règle à calcul à la main et répondant aux questions avec des termes mathématiques incohérents, mais qui illustrent son intelligence et son savoir.
Cette deuxième possibilité avec ses références en cascades à ma préférence bien évidemment.
Notes :