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Le minitel au coeur d’un roman politico-économico-policier international

27 décembre 2023 - Archeoputers - Collection

Qui aurait cru que notre minitel national avait été au centre d’un roman politico-économico-policier de dimension international.
Ecrit en 1984, pas sûr que je le lise au vu de son intérêt littéraire et de mon retard dans mes lectures, mais ça reste un beau témoin de la période dorée de la télématique française.

4ème de couverture :

Ce conte imaginaire tourne autour d’une guerre politico-économique entre les milieux des télécommunications de France et de Grande-Bretagne. Cette guerre aurait déjà fait des victimes : cinq ingénieurs britanniques, massacrés à l’autre bout du monde, en Thailande, où ils installaient un réseau de vidéotex.
Toutefois, dès que les différentes autorités tentent de se renseigner sur les circonstances précises de ce massacre, on découvre que les données en sont extrêmement confuses.
Dans cette bataille entre les puissances industrielles, il semble y avoir autant de « vérités » qu’il y a de protagonistes.
Une question d’ordre philosophique se pose alors : dans quelle mesure peut-on avoir une connaissance exacte d’un événement du passé ? En poussant la logique du doute jusqu’à l’extrême, on peut même se demander : que faut-il apporter comme « preuves » pour attester que cet événement a réellement eu lieu ?
Dans ce contexte trouble et tendu - évoquant parfois des querelles d’un autre âge —, celui qui croit détenir une vérité irréfutable peut se trouver pourchasse comme le pire des menteurs...

William Skyvington, 44 ans, né en Australie, travaille depuis de nombreuses années en France, dans les milieux informatiques. II a publié un essai sur l’intelligence artificielle intitulé Machina Sapiens (Seuil, 1976), et vient de terminer un ouvrage sur le micro-ordinateur Macintosh (Prentice-Hall, 1984).
En tant que conseiller scientifique au Centre National d’Etudes des Télé-communications, il a eu l’occasion dès 1977 d’assister à l’avènement du vidéo-tex. Il était rapporteur à la première Conférence européenne sur le vidéotex (Luxembourg, 1979), et il est co-auteur d’un ouvrage intitulé Videotex in
Europe (Learned Information, 1979). William Skyvington a réalisé sur microordinateur un système de traitement de texte nommé Maria, ainsi qu’un logiciel de cartomancie intitulé Tarot.

Visiophonie en …. 1927

15 novembre 2023 - Numérique

Alors que technologie des tubes cathodiques n’en est qu’à ses débuts, le journal « le petit inventeur » (esprit DIY de l’époque) imagine déjà un dispositif de visioconférence. Nous sommes en 1927 !!
Les premières études de la visiophonie en France par le CNET datent de 1972, et la 1ère application commerciale en 1984.

Deux compilations d’époque de cette revue sont consultables au Mathemarium.

Jeu de plateau « Fortran. Input reason. Output : pleasure ». Tout un programme.

Fortran a été le premier langage de programmation de haut niveau. Destiné au calcul, il est toujours utilisé dans les milieux scientifiques malgré ses 64 ans. Il a intégré au cours des années de multiples évolutions : vectorisation, parallélisme, orienté objet, … .

Ce jeu de plateau sortie en 1973 pour apprendre la programmation, en reprend le nom (et des instructions) comme gage de sérieux et nous fait un promesse : « Input reason. Output : pleasure ». Tout un programme :D.
Il a été développé par le département de physique de l’université de Bar-Ilan.

Pour faire simple, le jeu consiste à exécuter un programme constitué par les lignes de commandes sur lesquelles les lancés de dés vous ont envoyé. Le gagnant est celui qui arrive à la fin du programme avec le total des calculs successifs le plus élevé.

Dōjinshi (同人誌) sur les calculatrices anciennes

10 février 2021 - Archeoputers - Collection

Je suis un fan de fanzines (mais pas collectionneur). J’en ai fait quelques-uns, à plusieurs ou en solo. Ma première tentative était avec quelques copains au collège en 1983 poussés par notre prof de maths ; j’avais 13 ans. Il s’agissait d’un fanzine sur la programmation. Notre objectif était de former tous les élèves du collège au langage BASIC et de les attirer au club informatique. Abandon dès le 1er numéro, le succès n’ayant pas été au rdv. Qui l’eu cru :-D :-D.

Beaucoup plus tard, en voyage au japon, j’ai découvert les dōjinshi (fanzine japonais) lors d’un Comiket/Otaku Expo. Et je dois dire que j’ai été très déçus. Trop proprés, trop identiques, manque d’originalité dans les sujets. Sans doute que par définition le fanzine underground ou décalé cher à mon coeur reste underground aussi au japon et n’est pas accessible au 1er gaijin venu.

Et j’en viens au sujet de ce post : il y deux semaines, j’ai découvert un dōjinshi qui traitent de l’utilisation des calculatrices anciennes (et d’appareils photos). Ni le dessin, ni les schémas techniques n’ont a rougir de certaines publications japonaises pro utilisant le manga pour un propos technique. Ok, on est loin du fanzine punk et sulfureux, mais quand même : sortir des mangas en auto-édition sur le fonctionnement de calculatrices anciennes, sur du papier épais, couverture 300/400g, chapeau bas amis japonais.

Quand Oncle Picsou découvre l’ordinateur

Parmis les 1ères références à l’ordinateur dans la BD, il y a cette histoire d’Oncle Picsou dans un Hors-Série du Journal de Mickey datant de 1966.

Oncle Picsou découvre cette « curieuse mécanique », calculateur inventé par Geo Trouvetou, et décide de l’utiliser pour calculer les profits de ses nombreuses activités dans le monde. Dans un vacarme épouvantable, la machine qui semble s’auto-piloter dégurgite des mètres et des mètres de résultats sur ruban papier. Un véritable chaos sonore et physique illustrant une puissance mal maitrisée et qui pourrait lui échapper. La suite de l’histoire revient au préoccupations constantes d’Oncle Picsou : en découvrant une baisse de ses profit, il part à travers le monde pour savoir qui l’a volé.

La personnification du « Super Ordinateur Atlas » à travers ces 3 planches n’est pas sans rappeler la couverture du Time sortie un an plus tôt en avril 1965 qui illustre le gigantisme des 1ers ordinateurs et le mythe du cerveau électronique qui a court à l’époque (en fait les 4 première couvertures du Time consacrés à l’informatique - 1950, 1955, 1960, 1965 - reprennent toutes la personnification de l’ordinateur et le concept de cerveau électronique).
Cette personnification de l’ordinateur est aussi en partie liée à la popularité des robots et humanoïdes dans la culture populaire de l’époque à travers le cinéma (Metropolis - 1927 ; Planète interdite - 1956 ; …), la littérature SF (« Les robots » d’Asimov - 1950 ; …) , et dans la BD européenne (« Le robot géant - 1939 » dans Spirou ; …) comme dans les comics et mangas.
Toutefois le robot humanoïde reste à cette époque encore de l’ordre de l’imaginaire et du fantasme, alors que l’ordinateur lui est bien réel.

« Atlas », le nom de l’ordinateur dans l’aventure de Picsou, est probablement une référence à un des deux ordinateurs dénommés Atlas des années 1950-1960.
Le premier est anglais. Lancé en 1962, il est l’ordinateur le plus puissant du monde à de moment là.
Le second est américain. Il a été conçu entre 1947 et 1950 par une équipe de casseurs de codes formée durant la seconde guerre mondiale.
Et là où ça devient intéressant, c’est que ce nom est lui même une référence à un personnage du comics « Barnaby » de Crockett Johnson. Le personnage d’Atlas est un « géant mental » qui apparait dans Barnaby le 26 mai 1943 avec une règle à calcul à la main et répondant aux questions avec des termes mathématiques incohérents, mais qui illustrent son intelligence et son savoir.
Cette deuxième possibilité avec ses références en cascades à ma préférence bien évidemment.

Notes :

  • L’ordinateur américain Atlas sera mis en service en 1950. Une version commerciale sortira en 1951 sous le nom de « ERA 110 », puis sous le nom plus connu aujourd’hui de « UNIVAC 101 ».
  • C’est au cours des années 1965-67 que Stanley Kubrick et Arthur C. Clarke écrivent le scénario de « 2001, l’Odyssée de l’espace » et imagine l’ordinateur emblématique HAL 9000. Doté d’une intelligence artificielle, il est un personnage du film à part entière.

NeXT (photos personnelles)

Septembre 1992

Chez mes parents avec mes cousins germains Pierre (10 ans) et Sophie (7 ans). Je leur montre comment on développe une application au moyen d’Interface-Builder. Pas sur qu’ils en aient retenu quoique ce soit, mais ça me fait un beau souvenir puisque les deux sont devenus des amis en grandissant et que Pierre est devenu comme moi Ingénieur de Recherche en calcul scientifique (mais par un parcours de physicien).
C’était après le projet de fin de BTS en juin (logiciel de visioconf sur NeXT), et l’été à Villeurbanne chez El Camino Real (seul revendeur NeXT en France et qui faisait aussi du dev). C’était juste à mon retour sur Nice avant de rentrer en Licence info (L3 d’aujourd’hui) et d’y découvrir l’Institut Non Linéaire de Nice (INLN) entièrement équipé de NeXT (chercheur/se/s, secrétaires, doctorant/e/s) pour qui j’allais travailler quelques semaines plus tard en freelance, et qui m’embauchera en 1995 après mes études comme ingénieur cnrs en calcul scientifique.

Fin 1992 - Début 1993


Au lendemain d’une soirée très arrosée. On peut pas dire que je pète la forme sur la photo :D

1993 Semestre 2 - Encadrement d’un stage de maitrise (M1) math/info à l’université de Nice

La « bizarrerie » de ce stage est que j’étais en Licence d’Info (L3) quand je les ai encadré. Pierre Coullet (co-fondateur du labo INLN) avec qui je travaillais en freelance en plus de mes études, devait avoir une sacrée confiance en moi, bien plus déjà que celle que j’avais en tout cas :D
Pour la rentrée suivante je montais une salle d’info pour les étudiants en physique (toujours avec des machines NeXT). J’en ai assuré la maintenance ainsi que les TD (option calcul numérique). Je n’ai hélas aucune photo de cette salle, ni de la suivante que j’ai aussi monté quand l’option est passée obligatoire (NeXT + PC sous NeXSTEP).

25-27 Mai 1993 - NeXTWorld

Premier voyage aux Etat-Unis pour assister à la NeXTWorld de San-Francisco et ramener au labo (INLN) un bundle NeXTSTEP 3.1 aka NEXTSTEP 486, une version qui tourne sur PC.
Rencontre des plus succincte avec Steve Jobs qui était assis à 5cm de moi lors d’une conférence « - Hi Steve - Hi  » :D

Octobre 1993 - Télétravail et NEXTSTEP sur portable

Lorsque j’ai emménagé dans le vieux-Nice, j’y ai fait installer 2 lignes téléphoniques : une pour téléphoner, l’autre pour accéder à internet en me connectant par modem au labo INLN. Nous y avions installé un gros système RTC pour que les chercheurs puissent travailler et accéder aux ressources depuis chez eux (voir depuis l’arrière pays. Projet financé par la DATAR).
On télé-travaillait déjà à l’INLN il y a 30 ans ;-).
Le Web comptais à cette date moins de 500 sites et n’avait à ce moment là que peu d’intérêt en dehors de tester et frimer :D, mais l’email (déjà multimédia sur NeXT), FTP et un certain Gopher tournaient à fond.
Sur la 1ère photo vous pouvez voir sur la table un portable PC 486 fermé avec un calendrier posé dessus. Il tournait sous NeXTSTEP 3.1 : notre rêve était de faire tourner NeXTSTEP sur un portable avec un résolution SVGA minimal pour travailler partout sans avoir à avoir des stations installées à chaque endroit et trimballer un disque externe. Quand j’ai ramené de San-Francisco la 1ère version de NeXTSTEP pour 486, nous nous sommes immédiatement mis à la recherche d’un portable PC. Je crois qu’on les a tous a testé, toutes les marques possibles, mais impossible d’en trouver un qui puisse faire tourner l’OS au delà du VGA à cause de chips graphiques trop spécifiques. Et un jour, on découvre une marque clone complètement inconnue en France importée par un gars de Nice depuis son appartement (pas de local commercial, pas d’enseigne, juste son salon). Nous en avons été très content. Par la suite nous sommes passés à la superbe gamme de portables Toshiba quand les drivers compatibles sont arrivés.

Octobre 1994 - Tout 1er site web étudiant en France : niçois et sur une NeXT Station

En 1994 mon syndicat étudiant (UNEF) sort son 2ème guide dans lequel est interviewé Pierre Coullet sur l’usage des technologies pour l’enseignement supérieur. Je profite de l’occasion (et du fait de travailler avec lui) pour lui demander d’héberger une version numérique du guide sur une des machines du labo. Ca sera sur une NeXT Station.
A l’Université de Nice, seul l’INLN a un site web. Dans le monde, on ne compte que quelques milliers de sites à cette date (10 000 à la fin de l’année).
Exceptionnellement pas de photo avec un NeXT, mais la couverture du guide version papier parce que l’anecdote, elle, est parfaitement en rapport. Pour les non-geeks, le web (World Wide Web) été inventé sur un ordinateur NeXT.

2ème moitié des années 1990 - Salle de formation sous la « pyramide » du bâtiment de l’INLN à Sophia-Antipolis

C’est ici que j’ai rencontré pour la 1ère fois Robert Magnan, alors étudiant en maitrise de physique qui faisait son stage durant lequel il a été initié à la programmation objet et l’expérimentation numérique interactive. Des années pus tard, nous allions travaillez ensemble sur la culture scientifique, faire nos 1ères armes dans les fablabs, montés des projets avec son lycée et le laboratoire, et diverses autres activités, pour ne plus arrêter. Ca fera 17 ans en 2022.
PS : je n’avais pas vu à l’époque le niveau de saleté sur les NeXT. Honteux :-))

Eté 2006 - Stockage des vieux NeXT à l’Institut Robert Hooke en vue d’un projet de collaboration avec le CNAM sur le patrimoine informatique (qui n’aboutira pas. Mais c’est une autre histoire).

Octobre 2006 - Fête de la science / Exposition informatique

Ma 1ère exposition sur le patrimoine informatique et vidéoludique numérique dans le cadre de l’IRH. Elle sera le germe du futur Espace-Turing.

Mai 2009 - Transfert des NeXT dans mon nouveau labo au LJAD

L’échec de la collaboration avec le CNAM me persuade qu’il faut monter quelque chose localement et qu’il faut garder ces machines sous la main. J’arrive à convaincre le directeur du labo de mathématiques, qui sera jusqu’à aujourd’hui d’un soutien sans faille dans toutes mes activités de culture scientifique.

Février 2010 - Exposition informatique au CIRM

Dans le cadre du mois thématique Maths & Info : vers de nouvelles interactions au CIRM en février 2010, je dois faire une démo de mon logiciel scientifique xDim (qui tourne je vous le donne dans le mille, sur le descendant de NeXTSTEP, Mac OSX).
Je profite de l’occasion pour y organiser avec l’aide de Jean-Marc Gambaudo une exposition sur le thème : « Expérimentation numérique interactive : 40 ans d’aventure niçoise » avec plusieurs machines utilisées par les scientifiques niçois dans le domaine des systèmes dynamiques : HP-65, HP-9825, Macintosh+, …, et le NeXT Cube.
Cette exposition recevra un grand intérêt des participants aux conférences. Le directeur du CIRM voudra même gardé l’expo sur place.
C’est cette exposition qui nous convaincra définitivement qu’on peut monter un espace patrimonial sur le numérique à l’Université de Nice au vu des retours enthousiastes des collègues.

Octobre 2010 - Espace-Turing

Création en moins d’un mois de l’Espace-Turing (1er espace patrimonial permanent sur le numérique au sein d’une université) avec un tas de machines, dont évidemment du NeXT. Les débuts sont « rudimentaires » fait de systèmes-D, mais dès l’ouverture pour la fête de la science 2010 le public est au RDV. L’Espace-Turing changera 3 fois d’emplacements sur le campus St-Jean d’Angely avant de fermer après 4 ans de bons et loyaux services.

Octobre 2013 - Petit rafraîchissement des NeXT Cube

Novembre 2013 - Eric Chahi rencontre le NeXT Cube.

En novembre 2013, j’organise avec l’Espace-Turing et Kernel-Panic une exposition rétrospective sur l’auteur français de jeux-vidéo Eric Chahi qui doit venir faire une Masterclass. En préparant l’expo, il m’informe qu’il rêvait d’avoir un NeXT mais n’en a jamais vu en vrai. Je décide de lui en offrir un et de lui faire la surprise lors du vernissage de l’exposition.

Avril 2014 - Un NeXT Cube débarque chez Eric Chahi

4 mois après l’exposition, direction Montpellier pour amener le NeXT Cube à Eric Chahi. Le premier test est évidemment d’aller sur le site anotherworld.fr avec le navigateur vedette Omniweb.

Eté 2018 - Petit point machines en prévision d’un exposition en mars

Mars 2019 - Exposition Old Black Is The New Black à l’Octopus-Gallery
Photos du vernissage par ici

juin 2019 - Retour dans mon bureau au LJAD

Finalement, je me suis installé un NeXT a coté de l’iMac au boulot. Pas par nostalgie, mais parce que je considère toujours cette machine comme la plus sexy de l’histoire informatique, et que ca me fait plaisir en l’utilisant d’y voir le coeur de nos machines iOS et OSX d’aujourd’hui alors qu’elle a déjà 34 ans !!

Calculatrice mécanique portable « Addometer »

8 octobre 2018 - Archeoputers - Collection

Réception de cette calculatrice mécanique portable addometer modèle B (1928-196x) dans un parfait état avec son stylet, descendante de notre Pascaline nationale (1645).

Images-Mouvement-Interactions : entre sciences et jeux vidéo

Biennale Movimenta - Le 109

20 novembre 2017 - Numérique

L’exposition « Image - Mouvement - Interactions : Entre sciences et jeux vidéo » que nous avons monté pour la Biennale Movimenta avec mon compère Robert Magnan, proposait de revenir sur l’histoire du jeu vidéo dans son lien aux sciences. Elle a aussi invité le public à découvrir et manipuler de nombreux jeux vidéo depuis le tout premier « Tennis for two », jusqu’aux jeux d’auteurs, scientific games et autres dispositifs interactifs.
Durant deux week-ends, les plus petits -et leurs parents- ont pu également découvrir la robotique et la programmation, et l’impression 3D.
En préambule à l’exposition, j’ai donné un petit talk à la CCI sur les pionniers de la proto-histoire du jeu vidéo.

Informatique au lycée. Retour d’expérience datant de … 1981

J’ai découvert il y a peu de temps la revue « la puce » datant de 1981. Voici un article dans le 1er numéro sur l’informatique au lycée

La caverne

25 août 2016 - Jeux-vidéo

Penses-tu que dans une telle situation ils n’aient jamais vu autre chose d’eux mêmes et de leurs voisins que les ombres projetées par le feu sur la paroi de la caverne qui leur fait face ? - Platon

L’objectif de ce travail a été de trouver le dispositif minimal pour créer un jeu-vidéo : un bouton + une ombre.

Dispositif interactif présentée lors de l’exposition « Jeux vidéo. Entre Ombres & Lumières » à la médiathèque de Contes (06) du 29 août au 3 septembre 2016.

Conception et réalisation : Robert Magnan & Marc Monticelli.

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